Au moment où la pression de cesse de monter dans les deux camps en Côte d’ Ivoire, et que les morts se compte de jour en jour, on pourrait bien se poser la question s’il est possible de parvenir à une véritable paix dans ce grenier de l’Afrique de l’Ouest ?
La Communauté internationale (occidentaux) crie la victoire d’Alassan Wattara (ADO) sur tous les toits tandis que le camp Gbagbo reste campé sur la position de se maintenir au pouvoir. L’Union Africaine de son côté multiplie les soumets dans le but de trouver une issue favorable.
Cependant, la position de cette institution continentale semble s’éclaircir d’avantage : elle pourrait être favorable au partage du pouvoir. Or Peut-on réellement partager le pouvoir ? N’est pas une fuite en avant que de prôner le partage du pouvoir lorsqu’on sait que son application au Zimbabwe et au Kenya n’a pas encore donné des fruits et que ce n’est qu’une solution temporaire?
Il est question de résoudre définitivement cette crise qui n’a que trop durée. A mon avis, je pense que la solution réside en la création d’une nouvelle classe politique parce que le peuple a besoin de nouveaux leaders. De toute les façons, que ce soit Ado ou Gbagbo, celui qui triomphe devra gouverner un pays divisé. Il ne pourra donc être légitime aux yeux du peuple. On pourrait parvenir à la création de la nouvelle classe politique en organisant de nouvelles élections dont ni Gbagbo, ni ADO, ni Sorro, ni même Bédié ne serait candidat. Ceci ayant l’avantage d’écarter définitivement ces derniers de la scène politique.
Pour donner une vision commune à l’ensemble du pays et éviter la division (la situation actuelle peut à la longue conduire à la sécession), on devrait y appliquer la démocratie rotative qui consistera à régionaliser le pays en de grandes zones ayant en commun les mêmes valeurs telles le Nord (fortement musulman), le Sud (chrétien) ou une régionalisation basée sur les ethnies (haoussa, Baoulé, etc.). Chaque région étant tenue de gouverner pour un mandant 5 ans (conforment à la constitution de 1960) non renouvelable. A la fin du mandat, on passe à la prochaine région et ainsi de suite. Lors des élections, les partis politiques sont tenus de ne présenter que des candidats ressortissants de la région appelée à compétir.
La Communauté internationale (occidentaux) crie la victoire d’Alassan Wattara (ADO) sur tous les toits tandis que le camp Gbagbo reste campé sur la position de se maintenir au pouvoir. L’Union Africaine de son côté multiplie les soumets dans le but de trouver une issue favorable.
Cependant, la position de cette institution continentale semble s’éclaircir d’avantage : elle pourrait être favorable au partage du pouvoir. Or Peut-on réellement partager le pouvoir ? N’est pas une fuite en avant que de prôner le partage du pouvoir lorsqu’on sait que son application au Zimbabwe et au Kenya n’a pas encore donné des fruits et que ce n’est qu’une solution temporaire?
Il est question de résoudre définitivement cette crise qui n’a que trop durée. A mon avis, je pense que la solution réside en la création d’une nouvelle classe politique parce que le peuple a besoin de nouveaux leaders. De toute les façons, que ce soit Ado ou Gbagbo, celui qui triomphe devra gouverner un pays divisé. Il ne pourra donc être légitime aux yeux du peuple. On pourrait parvenir à la création de la nouvelle classe politique en organisant de nouvelles élections dont ni Gbagbo, ni ADO, ni Sorro, ni même Bédié ne serait candidat. Ceci ayant l’avantage d’écarter définitivement ces derniers de la scène politique.
Pour donner une vision commune à l’ensemble du pays et éviter la division (la situation actuelle peut à la longue conduire à la sécession), on devrait y appliquer la démocratie rotative qui consistera à régionaliser le pays en de grandes zones ayant en commun les mêmes valeurs telles le Nord (fortement musulman), le Sud (chrétien) ou une régionalisation basée sur les ethnies (haoussa, Baoulé, etc.). Chaque région étant tenue de gouverner pour un mandant 5 ans (conforment à la constitution de 1960) non renouvelable. A la fin du mandat, on passe à la prochaine région et ainsi de suite. Lors des élections, les partis politiques sont tenus de ne présenter que des candidats ressortissants de la région appelée à compétir.
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